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Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 14:56

A son arrivée devant la maison, son cœur ne pu s'empêcher de manquer un battement alors que sa gorge se serrait. Elle avait toute confiance en son maitre, mais elle savait aussi qu'elle avait fait preuve de beaucoup d'impertinences récemment, et que cela devrait se payer... Ce soir, elle souffrirait. La peur et l'appréhension se disputaient à la sensation de fourmillement qui prenait naissance dans son bas ventre. Alors même quelle craignait les punitions qui ne manqueraient pas de l'attendre, l'excitation gagnait son corps.

 

Son maitre ouvrit la portière et lui tendit sa main pour l'aider à quitter le siège avant du véhicule. Il ne manqua pas de détailler son corps du regard, souriant de la savoir à sa disposition pour la nuit.

Comme on le lui avait indiqué, elle s'était habillée dans le plus pur style d'une écolière modèle ; bas noir, escarpins vernis, petite jupe plissée bleu marine et chemisier blanc. Ce dernier laissait transparaitre un soutient-gorge noir dont on percevait la dentelle.

Plutôt petits, ses seins n'en étaient pas moins fermes et arrogant, et elle avait bien vu son maitre y arrêter son regard.

 

Dehors, il faisait froid. Son souffle, assez court, produisait de petit volutes de buée. La maison n'était qu'à quelques mètres, mais elle était bien contente de refermer les pans de son cardigan pour conserver la chaleur de la voiture. Son maitre lui saisi le menton dans la main, approcha son visage du sien, l'obligeant à se mettre sur la pointe des pieds et plaqua sa bouche contre la sienne. Pendant que sa langue prenait possession d'elle, sa main lui caressait le dos, plaquant son corps contre le sien.

 

Le baiser ne s'éternisa pas. Le visage du maitre repris ce masque impassible et le premier ordre tomba :

 

- « Mélisse, laisse ton cardigan dans la voiture. Tu n'en aura pas besoin ce soir ».


Elle tarda à bouger, paralysée à l'idée du froid mordant l'environnant. Son maitre pris les devant. La repoussant contre la voiture, il écarta les pans du cardigan, passa sa main sur le chemisier, remontant la courte jupe pour atteindre la culotte et masser le sexe... Le froid de l'hiver suivait ses caresses. Le cardigan finit par choir au sol, et Mélisse n'eut plus qu'à espérer qu'elle ne resterait pas longtemps dehors.

 

- « Retiens tes cheveux, que je passe son collier à ma petite chienne »

 

Mélisse retint ses cheveux mi-longs alors que son maitre lui enserrait le cou de son collier. De ses yeux verts, elle le regardait alors qu'il faisait d'elle sa propriété pour la nuit. Une fois le cuir serré autour de son cou, elle laissa retomber sa masse de cheveux châtains sur ses épaules et entreprit de croiser les bras pour se réchauffer. Le maitre ne semblait pas de cet avis. Elle se retrouva à nouveau plaquée contre la voiture, dos à son maitre cette fois-ci. Lorsque celui-ci lui ramena les bras en arrière et commença à lui lier coudes et poignets, elle su qu'à partir de cet instant et jusqu'au levé du soleil, elle pouvait dire adieu à son statut de jeune femme libre et indépendante. Cette idée la fit frémir et réchauffa son corps dans l'air glacé de l'hiver.

 

S'en apercevant, son maitre, passant une main sous sa jupe, lui empoigna le sexe et commença à frotter par dessus l'étoffe de sa culotte. L'excitation montait, mais il s'interrompit et la redressa, en proie à une profonde envie de se sentir comblée.

 

Il attacha la laisse au collier et s'est ainsi, bras liés dans le dos, collier autour du cou, habillée comme une jeune fille sage qu'elle n'était pas, qu'elle franchit les portes de la maison. La chaleur du lieu l'enveloppa immédiatement, mais elle mit un certain temps à arrêter de trembler. Le froid n'était surement pas le seul responsable. Son maitre lui détacha les bras, puis retirant son manteau, il s'adressa à elle.

 

- « Met-toi à genoux, cuisses tendues, mains sur la tête, dos droit. Et tu ne quittes pas la position tant que tu n'en a pas reçu l'ordre »

 

Le maitre s'absenta. Mélissa garda la position, malgré le froid et la dureté du carrelage de l'entrée. Au loin, des bruits de verre, une chaine hifi qui s'allume pour laisser place à une musique de fond, les pas de son seigneur.

 

Lorsqu'il revient, il tient une cravache. Il ne tarde pas a parcourir son corps du bout de l'objet. Arrivé aux cuisses, sa voix se fait entendre « Tes jambes sont trop serrées. Je dois pouvoir glisser mon pied entre tes genoux et le faire remonter jusqu'à ton sexe. Il me semble te l'avoir déjà dit »

 

Mélisse a conscience d'avoir fauté, la gorge serrée, elle tente d'avoir l'air le plus humble possible

 

- « Oui maitre, vous me l'avez déjà dit »

 

La pointe de la cravache se rapproche d'une joue, appuis sur la chair

 

- « Et ? C'est tout ? »

- « Je mérite que vous me punissiez pour mon inattention, maitre »
- « Effectivement, tu le mérites. Et tu le sera. Cette dernière inattention ne fait que s'ajouter à toutes celles que tu as commises et qui, ce soir, se verront chatiées. Pour l'instant, garde la position pendant que je jouis de ton immobilité »

 

Ce faisant, le maitre s'approche et caresse sa peau. Elle a toujours ses bas, son chemisier, son collier. Il y a peu d'endroit ou le maitre peut gouter ses chairs. Aussi, ses doigts s'introduisent par delà sa jupe, écartent la culotte et s'immiscent dans son sexe, le malaxe, le fouille et en ramènent le nectar qui témoigne de son excitation. Lorsque les doigts du maitre son bien imprégnés, il les approche des lèvres de Mélisse, étale le produit de son excitation comme on appliquerait du rouge à lèvre, puis fait gouter ses doigts à sa soumise. Mélisse n'aime pas se gouter. Elle préfère avoir en bouche ce qui vient de son maitre. Mais elle sait qu'elle n'a pas le choix et s'applique du mieux possible à nettoyer ses doigts.

 

Soudain, à travers ses vêtement, elle sent que le maitre lui empoigne un sein, cherche à en saisir le téton et à le presser rudement. La soudaineté du geste, la douleur qu'il provoque, déclenchent un mouvement involontaire de protection de ses bras.

La réaction ne tarda pas à se faire sentir. Sa joue la brulait encore de la gifle que son maitre lui asséna « Garde la position. L'ordre n'est pourtant bien si compliqué à suivre »

 

Mélisse repris position. Son maitre semblait échauffé. Déboutonnant son pantalon, il présenta son sexe à l'entré de sa bouche.

 

- « Tu sais ce que tu as à faire. Et surtout, n'oublie pas. Garde la position, sinon je serai encore obligé de sévir »

 

Mélisse s'employa à contenter son maitre. Les mains sur la tête, à genoux sur du carrelage, ça n'avait rien de facile. D'autant plus que son maitre prenait un malin plaisir à bouger pour l'obliger à venir chercher toujours plus loin son sexe, risquant à tout moment de rompre la position. Parfois, au contraire, il poussait en avant à la recherche d'une gorge profonde, espérant surement qu'elle briserait la position par réflexe. Mais Mélisse tint bon. Elle aimait sentir la queue de son maitre aller et venir entre ses lèvres, sur sa langue, au fond de sa gorge. Lorsqu'elle senti le sexe de son maitre durcir encore plus, sur le point de jaillir, elle redoubla d'attention et se prépara à avaler toute la semence qu'il voudrait bien lui donner. Le chaud liquide ne tarda pas à envahir sa bouche, et elle en avala jusqu'à la dernière goutte.

 

- « Déshabille toi, entièrement. Remet seulement tes escarpins et reprend la position »

 

Surprise de la demande de son maitre sitôt après sa jouissance, elle n'en oublia pas pour autant d'exécuter l'ordre. Bientôt, son corps, plutôt fin, ne fut plus couvert que par son collier de cuir et ses escarpins noirs, contrastant avec son teint pale. Elle sentait le regard de son maitre qui pesait sur elle. Celui-ci se déplacer dans l'entrée, quittant fréquemment son champs de vision. Souvent, alors qu'il était derrière elle, il faisait glisser la cravache entre ses jambes et en caresser son sexe, de façon plus ou moins appuyée. Lorsque la cravache quittait cette zone avec un peu de son nectar, son maitre la portait alors vers sa bouche, et elle devait la nettoyer aussi consciencieusement que possible. Ce faisant, elle avait encore le souvenir de la queue qu'elle venait de sucer quelques instants avant.

 

Soudain, un douleur éclata sur sa fesse gauche. Le maitre venait d'abattre la cravache avec célérité, quittant le monde des caresses pour entrer dans celui de la punition. Au dernier moment, Mélisse se souvint de garder la position. Elle ravala un cri et attendit la suite. Rapidement, un second coup vint s'abattre sur la fesse droite... Puis rien pendant de longues secondes, à l'exception de la cravache parcourant son dos, doucement, langoureusement, venant jusqu'à son cou pour jouer à déplacer ses cheveux. Puis à nouveau, une douleur aiguë sur la fesse, puis un autre coup, puis la sensation de brulure plus bas sur sa cuisse, encore une autre au bas des reins et un dernier à la limite de la fesse et de la hanche. Le maitre venait de lui asséner une rafale de cinq coups, et tenir la position était des plus difficile. Elle retint une larme de douleur, mais ne pu s'empêcher de ressentir, parallèlement, son sexe se gorger d'humidité.

 

Son maitre lui saisi les mains et les ramena dans son dos. Elle sentit le métal froid de menottes et entendit le cliquetis si caractéristique du système de fermeture. Toujours à genoux, les mains liés, elle senti le corps de son maitre derrière elle et suivi ses mains du regard lorsqu'il les approcha de ses seins pour les empoigner et les malaxer. Elle savait qu'il ne serait pas long avant de cibler ses efforts sur ses tétons, les pressant et les tordant jusqu'à la limite du supportable alors qu'elle ne pouvait rien faire d'autre que subir. Et effectivement, la douleur ne tarda pas à irradier de la pointe de ses seins jusqu'à l'ensemble de sa poitrine. Lorsqu'elle senti que l'une des mains de son maitre quitta son sein pour aller saisir ses lèvres intimes et le capuchon de son clitoris, son cœur s'accéléra et une onde de frisson parcouru son corps. Lorsqu'il commença à torturer son bouton intime, elle ne pu s'empêcher d'ouvrir la bouche, mi pour gémir, mi pour exprimer la souffrance qui la tenaillait. Son maitre la fit taire en plaquant ses lèvres contre les siennes, l'obligeant à tendre son cou pour lui donner ses lèvres.

 

La torture dura plusieurs minutes. Mélisse perdait rapidement la notion du temps dans ces circonstances. Lorsque son maitre tira sur sa laisse pour la relever, elle n'aurait pu dire depuis combien de temps elle était la, à genoux, à tenter scrupuleusement de garder la position alors que son maitre jouait de son corps. Plusieurs fois, par réflexe, elle avait tenté de se soustraire à ses assauts, et plusieurs fois elle s'était retrouvé punie, giflée ou cravachée de n'avoir su respecter son immobilité.

 

- « Suis moi Mélisse, nous descendons à la cave. »

 

Guidée par la laisse de son maitre, Mélisse le suivi jusqu'à une porte ouverte au delà de laquelle on distinguait des marches s'enfonçant dans les sous sols de la bâtisse. Une faible luminosité émanait de la cave.

Le maitre fit comprendre à Mélisse qu'il voulait quelle passe devant. Précautionneusement, elle commença à descendre les marches peu éclairées, faisant à chaque pas attention à ne pas faire de faux pas avec ses escarpins. A quelques pas derrière, elle sentait la présence de son maitre qui la maintenait toujours en laisse.

 

Arrivée sur le pas de la pièce du bas, elle eu le souffle coupé. La pièce, éclairée seulement par quelques bougies prêt des murs, semblait grande. Il s'agissait visiblement d'une vieille cave en pierre voutée. Sur les murs sombres, certains en pierre, certains recouverts de rideaux de velours noir, prêt des bougies, Mélisse pouvait voir tout un ensemble d'objets et ustensile dont elle avait peur de saisir l'utilité... Fouets, cravaches, badines, godes, chaines, cordages. L'éventail des possibilités de ce qui allait lui arriver la laissa dans la crainte et une excitation toujours plus forte.

 

Au centre de la pièce, il lui semblait apercevoir une masse sombre, mais l'éclairage ne portait pas jusque la et elle ne pouvait deviner de quoi il s'agissait. Son maitre se rapprocha d'elle, lui passa un bras autour du ventre pour la coller à lui, puis, lui susurrant quelques mots à l'oreille « Mélisse, ce soir tu vas devoir payer pour toute ton impertinence », il actionna un interrupteur.

 

Un spot éclaira le centre de la pièce. L'objet sombre qu'elle y avait vu n'était pas vraiment un lit, pas vraiment une table. Rectangle sombre plus proche d'un autel, il était recouvert de cuir noir et en plusieurs endroits, des accroches de métal ne laissaient pas de doute sur leur utilité... Quelle que soit la punition que son maitre avait prévu pour elle, une fois allongée et attachée à cette table, elle n'aurait aucun moyen de s'y soustraire.

 

Le maitre la conduisit jusqu'au centre de la pièce et lui demanda de s'allonger sur le dos. Le contact froid du cuir sur sa peau la fit frémir. Au plafond, le spot lumineux l'empêche d'avoir une vision claire de ce qui l'entoure. Elle se laisse guider alors que ses poignets et ses chevilles se retrouvent munis de bracelets de cuir. Rapidement, elle se retrouve étendue et arrimée à la table, bras et jambes légèrement écartés, son sexe rasé facilement accessible.

 

Elle sent des doigts s'introduire dans son vagin et la fouiller, assez rudement. Son maitre cherche visiblement à la faire mouiller, et c'est ce qui ne tarde pas à arriver. Lorsque ses doigts se retirent et s'approchent de son cul, la peur la reprend. Elle se sait étroite et appréhende la douleur. Son maitre n'en a que faire. Il force son anus, d'abord d'un doigt, puis d'un deuxième. Elle ne peut retenir ses cris. Il se retire. Elle se demande s'il a pitié d'elle avant de comprendre qu'elle s'est lourdement trompée. S'approchant d'un des murs, il saisi un bâillon boule et se dirige vers sa tête. Sans aucun égard, il lui fait ouvrir la bouche et lui enfonce la boule de latex entre les dents. Immédiatement, un flot d'adrénaline la parcours. Elle se sent pleine et réduite au silence. Obligée de respirer par le nez, elle tente de reprendre son souffle alors que son maitre attache la bride de cuir qui permet au bâillon de rester en place. Le sourire qu'il lui adresse laisse augurer de la suite des évènements.

 

Une fois son œuvre achevé, le maitre revient vers son sexe et son cul pour reprendre ses activités. Mélisse le sens fouiller son fondement et son sexe, distendre cette porte si peu souvent empruntée. Elle a mal mais ne peux plus exprimer sa souffrance autrement que par des grimaces et des bruits de gorge. Son maitre fixe son visage, visiblement ravi d'en saisir toute les expressions qu'il déclenche.

 

Lorsqu'il sort de sa poche un plug anal et le montre ostensiblement à Mélisse, les yeux de celle-ci s'agrandissent et son souffle accélère. Elle est persuadée que, bien que de taille modeste, l'engin ne passera pas. Jouant de son appréhension, le maitre joue avec le plug, le passe sur son corps, le lubrifie de ses sécrétions naturelles, le presse contre ses seins. Plusieurs fois, il le frotte contre sa rosette. Lorsque c'est le cas, elle se tend, prête à le recevoir, puis se détend lorsqu'il s'éloigne. Parfois, il reste positionné de longues secondes qui semblent des heures.

 

Puis, finalement, elle ressent comme un éclair l'intromission subite de l'engin et rue dans ses attaches. Elle a mal, elle se sent distendue et elle ressent très bien la forme du plug dans son corps. La hampe empêche son anus de se refermer entièrement et maintient l'inconfort.

 

Son maitre à repris la fouille de son sexe. Mélisse sens ses doigts appuyer sur l'arrière de son vagin, comme s'il cherchait à ressentir le plug au delà de la paroi. S'en est trop pour Mélisse qui sens monter son excitation vers l'orgasme. Mais son maitre la connait, et il prend bien soin de stopper avant que n'explose sa jouissance.

 

S'éloignant à nouveau d'elle, il rapprocha un chandelier. Sur celui-ci, plusieurs bougies se consumaient et Mélisse se faisait une idée assez précise de ce qui allait lui arriver. Entravée et bâillonnée, elle tenta d'attendrir son maitre par de vains mouvements et des yeux de jeune femme implorante. Cela ne l'empêcha pas de ressentir la cire commencer à couler sur son corps. La première coulée atteignit son ventre, lui faisant immédiatement ressentir une grande chaleur. Puis d'autres gouttes de cires virent, sur ses seins, sur ses bras, sur ses cuisses, quelques unes, même, sur ton menton et prêt de ses lèvres, puis sur son sexe. La chaleur, l'attente, l'appréhension de savoir ou allait tomber la prochaine goutte contribuaient à maintenir Mélisse dans tous ces états.

 

Lorsque son maitre jugeât que son corps était recouvert de suffisamment de cire, il éloigna les bougies. S'approchant de son visage, il décolla de sa langue les quelques traces de cire maintenant refroidis qui le barbouillait. Lui caressant les cheveux, la regardant dans les yeux, elle comprit assez vite qu'il ne tarderait pas à la prendre.

 

Effectivement, sortant son sexe et la chevauchant, elle senti assez vite qu'il prenait possession de son sexe par de violents va et vient. Elle aimait qu'il la possède comme ça, mais son sourire, alors qu'il la regardait toujours, laissait présager qu'il ne s'agissait que d'un prélude.

 

Après quelques minutes de pilonnage, il se retira, toujours en érection et lui détacha les jambes. Cette semi-liberté ne fut que de courte durée lorsqu'elle senti qu'il lui ramenait les chevilles au niveau des poignets, la pliant en deux et exposant son cul toujours orné d'un plug. Il rattacha ses bracelets de chevilles aux mêmes attaches qui liaient ses poignets et se saisi d'une badine.

 

L'arrière de ses fesses, de ses cuisses, était exempt de cire, protégé qu'il était par la table. Lorsque les coups commencèrent à s'abattre, elle ne pu que retenir le plus longtemps possible ses larmes, mais celles ci ne tardèrent pas à poindre aux coins de ses yeux. Après lui avoir plusieurs fois rossé le postérieur et y avoir laissé quelques marques rouges qui s'estomperaient dans quelques jours, le maitre retira le plug pour le remplacer par son sexe. Cette fois ci, il ne quitta pas l'endroit avant d'y avoir déversé sa semence et laissé sa soumise pantelante.

 

Reprenant son souffle, il laissa Mélisse dans cette position inconfortable quelques minutes puis la détacha. Mélisse s'apprêtait à l'enlacer, mais elle comprit vite qu'il n'en avait pas finit avec elle

 

- « et bien jeune femme, pensez vous vraiment que vous ne méritiez que ce que je viens de vous donner pour l'ensemble de vos impertinence ? Il n'en est rien. Il faut encore retirer toute cette cire qui orne ton corps. Un fouet nous y aidera surement »

 

Attachant ses poignets ensemble, le maitre lui leva les bras en direction du plafond. Un crochet qu'elle n'avait pas remarqué, masqué par la lumière du spot, l'empêcha de les ramener vers elle.

Mélisse entendit un bruit métallique et senti l'autel bouger. Visiblement il était monté sur roulette et pouvez se déplacer. Le maitre l'écarta du centre de la pièce. Initialement assise dessus, retenu par les poignets au plafond, elle fut obligé de le quitter et de se lever. Le centre de la salle était maintenant désert. Dans un bruit de chaine, elle senti que le crochet remontait vers le plafond, et se retrouva debout en extension. Elle ne tarda pas à être sur la pointe des pieds. Son maitre approcha un haut tabouret du centre de la pièce. En son centre trônait un énorme phallus, surpassant par sa largeur et sa profondeur tout ce qu'elle avait déjà eu l'occasion de prendre. Lorsque son maitre lui saisi les cuisses, elle ne pu s'empêcher de ruer, mais il était plus fort qu'elle et elle ne tarda pas à se retrouver empalée sur ce tabouret, son sexe distendu et sentant cette présence au plus profond d'elle même. Pour éviter quelle ne puisse retirer l'objet, son maitre lui lia les pieds au tabouret... C'est alors, et alors seulement, quelle vit la télécommande dans sa main. Il l'actionna et immédiatement, elle senti de puissantes vibration partir du phallus de plastique pour se transmettre à son bas ventre et à l'ensemble de son corps. Emportée dans un tourbillon de sensation, elle commença à gémir dans son bâillon.

 

C'est alors que son corps fut soumis au fouet à neuf queue jusqu'à ce que toute trace de cire en ait disparu, et même un peu plus tard... Les coups alternaient douceur et puissance et la douleur du fouet se confondait avec les pulsations venant de son sexe. Parfois le fouet lui mordait un sein, parfois il lui caressait la cuisse, souvent il s'abattait sur le dos et le ventre. Mélisse regrettait toutes ses impertinences passées.

 

Lorsque son maitre arrêta, la peau de son corps avait pris une belle teinte rouge, attestant du traitement qu'elle venait de subir. Le maitre s'approcha d'elle pour lui expliquait la fin de la punition.

 

- « Et maintenant Mélisse, tu vas rester seule pour méditer à ton comportement. Tu aura pour seul compagnon le ronronnement du gode qui t'emplis le sexe et l'obscurité de la cave. Quand j'estimerais que tu aura suffisamment réfléchi, je viendrais te détacher et nous pourrons passer dans la chambre »

 

Ayant énoncé la sentence, le maitre alla souffler une à une toutes les bougies qui se consumaient encore puis, sur le pas de la porte, il coupa la lumière. Mélisse attendit de longue minutes dans le noir, toujours attachée au plafond et à son tabouret, bâillonnée, le corps meurtri, le sexe occupée par un incessant ronronnement.

 

Une demi-heure plus tard, son maitre vint ouvrir la porte et la détacher. Lorsqu'il la leva du tabouret et lui ôta son bâillon, elle se laissa tomber dans ses bras. Il la porta jusqu'à la chambre ou ils finiraient la nuit. Mélisse se sentait heureuse d'avoir plut à son maitre et d'avoir expié son impertinence. Mais elle se connaissait bien. Elle savait que, tôt ou tard, elle recommencerait...

 

Par mr le mage - Publié dans : récits
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 19:46
Après plusieurs hésitations, tu es la, dans l'entrée de mon appartement. Tes yeux bleus posent leur regard autour de toi, passant des murs au plafond, du plafond au sol, du sol à mon visage. Je capte ton regard et je te souris. Je m'approche de toi jusqu'à toucher ton corps. Ma main gauche dans ton dos, après quelques caresses, fait pression pour plaquer un peu plus ton corps au mien.

De ma main droite, je caresse ton visage, ton cou, tes épaules. Mes lèvres déposent ici un baiser sur ton front, la, une caresse prêt de ton oreille. Je laisse la situation se poursuivre quelques secondes, puis je m'éloigne de toi pour te contempler. Il n'y a plus de contacts entre nous…

Tu me regardes alors que je fouille mes poches et contemple le bout d'étoffe que j'en sors: C'est un ruban vert clair, d'une couleur printanière qui se marie de façon exquise avec le bleu de tes yeux et l'or de tes cheveux.

Justement, je m'approche. Pour l'instant, tes longs cheveux coulent sur tes épaules, libres et soyeux. Je prend le temps de les caresser, les ramène en arrière en une queue de cheval, dévoilant ton cou et tes épaules, exquis morceaux de chair veloutés. Le ruban me sert à attacher tes cheveux, à les retenir afin de laisser s'exprimer la beauté de l'ovale de ton visage.

Bien sur, au passage, j'en ai profité pour couvrir de baisers cette zone si sensuelle entre la gorge et la naissance des seins. De même, mes mains ne sont pas restées passives. Lorsqu'elles n'étaient pas occupées à nouer, elles exploraient ton corps, lentement, laissant toutefois entre toi et moi les barrières de vêtements.

Une de mes mains revient vers tes cheveux. Les empoignant et les ramenant en arrière, je t'oblige à pencher ton visage vers le haut, vers moi et mon regard. Mes lèvres s'approchent des tiennes et les goûtent. Ma langue ne tarde pas à s'introduire dans ta bouche, à explorer, à jouer. Pendant ce baiser, nos corps sont à nouveau seulement séparés par les fines couches de nos vêtements.

A nouveau, je m'éloigne de toi. Je sors un second ruban vert de ma poche. Tu frémis. Tu sais que celui-ci n'est pas pour tes cheveux, nous en avons longuement discuté. Je te susurre à l'oreille ces simples mots "ferme les yeux jeune fille".

Tu es maintenant plongée dans le noir. J'en profite pour te caresser le visage du revers de la main et y déposer quelques baisers, puis je passe derrière toi. Tu sens mon souffle dans ton cou, le murmure de ma voix au creux de ton oreille. Ma main gauche est sur ta main gauche, elle même positionnée prêt de ton nombril. Ta main droite est serrée dans ma main droite. Je t'enlace quelques secondes et tu entends ces quelques mots "prête à visiter l'appartement, jeune fille ?"

Tout mon corps appuie contre le tien. Alors que le ruban t'aveugle, je te pousse à avancer afin de découvrir l'appartement. Chaque pièce, tu la découvres par le toucher. Eprouvant la texture des murs, sentant le plancher sous tes pas, je te fais suivre langoureusement les contours de la table basse du salon, te fait éprouver le carrelage de la salle de bain, dépose dans ta bouche un quartier de clémentine alors que nous visitons la cuisine...

Nous nous arrêtons quelques secondes. "Sais-tu ou nous sommes ?" Non bien sur, comment pourrais-tu le savoir. Mais tu t'en doute, et ton sourire s'élargit. Je te renverse sur le lit, t'enjambe et, encore une fois, te couvre de baisers.

Il est tant de s'occuper de tes vêtements. Ton haut est le premier à subir mes assauts. Il ne tarde pas à être déposé au loin, alors que tu es allongée en soutien-gorge.

J'ai tout mon temps. Je profite de ton ventre, de ton dos, de tes courbes... Mes mains glissent, palpent, caressent. Mais il faut en finir. Bientôt, ton soutien-gorge va rejoindre ton haut et je suis subjugué par tes petits seins dévoilés. Ma bouche s'approche d'eux. Elle les goûte, les malaxe, les pétrit.

Le reste de ton corps n'est pas oublié. Les boutons de ton jean sautent un à un. Ton pantalon n'est bientôt plus qu'un souvenir, et tu es la, étendue devant moi, seulement vêtue d'une petite culotte, un ruban vert sur les yeux. Je savoure l'instant.

Il reste à s'occuper de ta petite culotte. Il n'est certes pas aisé de te la retirer sans m'aider de mes mains, mais tenter d'y parvenir avec la seule aide de ma bouche me permet de lécher ton joli corps. Et puis, ainsi, tu peux sentir ma respiration de plus en plus rapide sur ta peau. Tu es maintenant entièrement nue.

Je déserte le lit quelques instants pour avoir une vue d'ensemble de la scène. Tu es très excitante, étendue au milieu de ce lit. Mais je n'en ai pas fini avec les rubans...

Je reviens vers toi et commence à t'embrasser l'épaule gauche. Petit à petit, mes caresses remontent le long de ton bras que je déplace de façon à placer ta main non loin de l'angle du lit. Lorsque enfin mes baisers sont dans le creux de ta main, tu sens autour de ton poignet le frottement d'une étoffe. Je suis en train d'y nouer un ruban. L'autre extrémité est attachée à l'angle du lit. Bientôt, ton poignet droit subit le même sort.

Une fois les nœuds en place, je redescends vers tes chevilles. Je les saisi et te fait glisser vers le pied du lit. Tes liens font obstacle à ta progression: Tu es en extension. Ta poitrine est merveilleusement offerte et tes bras sont tendus. A nouveau, j'en profite pour explorer ton corps de mes mains et de mes lèvres. Dans cette position, il n'y a guère que ton intimité qui ne m'est pas offerte, et je vais y remédier. Je ramène tes pieds prêt de tes poignets. A nouveau, je me sers de ruban pour te contraindre à garder la position.

Tous tes secrets me sont maintenant dévoilés: Ta toison, ton sexe, ta rosette. Rien ne peut me barrer le passage. Bien sur, avant de m'y plonger, je les honore de ma langue. Je flatte l'intérieur de tes cuisses, tes lèvres intimes, le bouton de ton plaisir et l'oeillet de ton cul. Ma langue se fait insistante, elle darde, explore, lèche. Mes lèvres pincent, malaxent, triturent... mes mains caressent, mes doigts explorent...

Il est temps pour moi de te connaître de façon plus intime. J'enfile un préservatif, te le fait tâter dans ta main toujours liée, puis j'approche mon sexe de ton ventre. Après avoir joué quelques temps à l'entrée, je te pénètre finalement de toute ma force. Toujours attachée, tu subis mes va et viens jusqu'à la libération de mon plaisir. Une fois l'excitation retombée, je te détache et l'enlace, puis, t'embrassant, je t'ôte le ruban qui te masque les yeux. Je plonge mon regard dans les tiens, cherchant à y lire des signes de contentement et d'extase.
Par mr le mage - Publié dans : récits
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Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 21:41
Elle est vêtue d'une tunique blanche bordée d'un liseré d'or. Elle s'avance, à la fois fière et apeurée, vers le lieu de la cérémonie. Elle est encadrée par deux prêtres qui la soutiennent, chacun d'eux lui empoignant un bras. sous ses pieds nues, le sol de pierre lui parait froid et elle ne peux s'empêcher de fixer des yeux le poteau ou elle sera bientôt liée... Elle a été choisie la veille pour honorer les dieux du plaisir.

Plusieurs, parmi les jeunes femmes, ont été écartés rapidement : pas assez sensuelles, pas assez athlétiques, pas assez belles pour cette personnification du désir qui est nécessaire lors de la cérémonie... Malgré tout, il restait un petit groupe d'élue, mais c'est elle qui a été choisie. Le maitre de cérémonie a vu dans les étoiles de son buste un signe du ciel... Plongée dans ses souvenirs, elle ne s'est pas aperçue qu'elle était arrivée sur les lieux ou elle allait être livrée au plaisir de certains...

Les prêtres l'ont lachée. Elle se tient debout devant l'officiant. Celui-ci lui lie les mains avec un ruban de soie. Assez fermement pour qu'elle ne puisse se dégager, mais sans risquer la gène de lui couper la circulation. Il prend son temps. Les mains de la jeune femme sont jointes devant elle. L'officiant la hume, la touche, la découvre, jouant avec sa peau dénudée ou encore protégée de sa tunique. Il ne tarde pas à saisir les rubans lui enserrant les poignets, et d'un mouvement rapide, les ramène loin au dessus de sa tête. elle se retrouve les bras tendus, le corps en extension...  La cambrure qu'elle est obligée de prendre fait ressortir ses seins. Elle est maintenant sur la pointe des pieds. Guidée par l'officiant qui, de sa main libre caressant son ventre, la pousse en arrière, elle ne tarde pas à être appuyée au poteau de cérémonie. Les liens de ses poignets sont fermement arrimés à une accroche. L'officiant la lâche et s'éloigne d'elle pour la contempler... Son corps est toujours cambré, ses pieds touchent à peine le sol.

En quelques instants, sa tunique se retrouve à ses pieds. Elle est maintenant entièrement nue, offerte à la vue de la foule des participants... A partir de maintenant, elle sait qu'elle n'est plus elle même. Elle est, pour cette journée de célébration, la personnification du désir et du plaisir... L'officiant se rapproche d'elle. Il masse son corps avec un onguent destiné à éveiller son corps. Il s'attarde longuement sur ses seins, son ventre, ses fesses et bien évidemment, sur le temple consacré de tous les plaisirs. Pour un meilleur accès, deux acolytes lui ont saisi les jambes et les maintiennent écartées. elle est entièrement ouverte, visible de tous, et à l'onguent de cérémonie ne tarde pas à se mêler les signes de son plaisir. Finalement, les acolytes lui lient les jambes : les genoux remontés vers le ventre, les cuisse écartées, son sexe attirant tous les regards. L'officiant prépare le sexe des dieux : un godemiché de belle taille symbolisant le coté divin du plaisir. elle n'a pas les yeux bandés... pas encore.

Elle peut suivre toute la préparation de cet objet qui, bientôt, se trouvera fiché en elle, la portant sur un océan de sensations. La crainte se mêle au désir : elle sait qu'elle peut en tirer un plaisir immense, c'est presque son devoir en ce jour de fête. Mais l'objet est de belle taille. L'officiant s'approche d'elle. Collant ses lèvres aux siennes, il lui vole un baiser avant de lui passer un bâillon. Puis, la regardant dans les yeux, il approche le godemiché de son sexe et l'insère d'un geste ferme avant de lui imprimer de puissants va et vient. De nombreuses expressions passent sur le visage de la jeune femme... Amenant celle-ci à l'extase, il retire le sexe des dieux et la laisse béante, à la vue de tous.

Parmi la foule, un élu pourra disposer d'elle en l'honneur des dieux. Celui-ci doit lui rester inconnu : On lui bande les yeux. elle est maintenant dans le noir, la respiration haletante, son corps se rappelant de l'extase passée et frémissant à l'idée de se sentir encore une fois emplie, par un sexe d'homme cette fois. Il s'approche d'elle. Il passe de longues minutes à l'explorer, la sentir, à passer ses doigts aussi bien au fond de son sexe que par cette autre porte, plus étroite... elle se demande laquelle il va honorer de son membre.

Il finit par choisir son sexe et, se plaquant contre elle, repoussant son corps contre le poteau de cérémonie, il consomme leur union en l'honneur des dieux du plaisir. Il se retire, vidé et serein. Elle, elle est encore laissée plusieurs minutes liée au poteau, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, le temps que tout le monde puisse admirer son corps haletant et retrouve son calme. Puis elle est détachée et de jeunes servantes prennent soin d'elle, l'amenant vers les salles d'eau ou son corps est lavé et massé jusqu'à ce quelle soit totalement relaxée et reposée de cette journée de cérémonie.
Par mr le mage - Publié dans : récits
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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 13:03

une nuit à la bibliothèque

La bibliothèque vient de fermer et les derniers lecteurs, comme le personnel, s'en sont allés vers d'autres occupations. L'éclairage est éteint et la lumière vespérale qui beigne la pièce lui donne une teinte en noir et blanc.

Tu es la. Tout comme moi, tu as réussis à te dissimuler aux yeux du vigile lors de sa dernière ronde. Il n'y aura plus personne jusqu'au matin. La nuit est à nous.

Tu souris, ta main voyage le long des rayonnages, comme si tu étais à la recherche d'un ouvrage. Mais tes yeux, eux, regardent ailleurs. Ils me fixent, brillant dans les ténèbres. Ils semblent me lancer un appel. J'accroche ton regard puis tourne la tête. La, près de nous se trouve une table de bois massif. Toute la journée, elle a accueilli le public studieux venu étancher sa soif de connaissance. Ce soir, ce ne seront pas des livres qui s'y retrouveront ouvert. Tu le sais aussi bien que moi.

Te prenant par la taille, je te soulève et t'amène jusqu'à cette table. Je t'y dépose, tes sublimes fesses en appuis contre le rebord. Tu es en équilibre. Je te domine de toute ma taille et te presse contre le bois. Tu es encore à moitié debout. Mes mains s'attardent sous ta longue jupe noire, caressent tes cuisses, remontent à la recherche du petit bout d'étoffe blanc qui protège une vertu que tu n'as plus depuis longtemps.

Ça y est... mes doigts glissent tous l'étoffe, ils s'attardent sur ta toison, s'immiscent plus audacieusement. Tu es toujours plaquée contre ce rebord de table, face à moi. Ton visage prend les teintes rosées de l'excitation. Me servant de mon bassin pour te maintenir, une main toujours
jouant entre tes cuisses, j'approche mon visage du tien. Je cherche tes lèvres, je cherche ta langue... Nous sommes collés l'un à l'autre. Seul le tissu de nos vêtements sépare nos deux corps.

Notre baiser se termine. Tu reprends ton souffle, je te repousse sur la table. Tu es maintenant allongée, sur le dos, les fesses en bord de table. Je fais glisser ta culotte le long de tes jambes. Tu portes encore ta jupe. Je la retrousse le long de tes cuisses, te relève les jambes, les écartent.
Je t'avais promis que les livres ne seraient pas seuls à être ouverts à cette table. C'est chose faite. Afin de rendre plus accessible ton intimité, je m'agenouille. Mon visage s'approche de ton entre-jambe. Mes lèvres t'embrassent, d'abord les cuisses, puis le ventre... évitant soigneusement cette zone si sensible pour toi.

Cette attente est une vraie torture. Mes mains, posées sur tes seins, affairées à te débarrasser de ton chemisier, vont et viennent. Je peux sentir ta respiration haletante, ta peau si douce qui s'enflamme. Entourés par des milliers d'ouvrages, nous sommes les seuls êtres vivants de la pièce. Dans ce silence, nos halètements et gémissements sont amplifiés. L'air est empli du son de nos corps assouvissant leurs désirs.

Il est temps... Je me relève, te contemple, offerte et lascive sur cette table, ton chemisier défait, ta jupe troussée, tes cheveux en bataille. Tu te pinces les lèvres avec les dents dans un petit sourire narquois. Tu sais que je vais te prendre, tu m'attends. Après avoir frotté mon sexe contre l'entrée du tien, n'y tenant plus, je te pénètre d'une traite. Tu t’arc-boutes. Tes mains cherchent les miennes. Allongé sur cette table, mes va et viens se font de plus en plus rapide, tes caresses se font de plus en plus vives. Tu sais comme moi que bientôt, il fera jour... les va et viens se poursuivent, l'excitation monte. Ton corps me rempli de désir. Je sais que le simple fait de te regarder pourrait me faire partir d'un coup.

Pour prolonger ce moment, je ferme les yeux, te pilonne encore et encore, jusqu'à ce que je t'entende crier ton plaisir. Alors seulement j'ouvre les yeux et je vois ton visage: tes lèvres pleines, tes yeux rieurs... Il n’en faut pas plus, c’est la fin.

Nous nous regardons encore l'un l'autre alors que nous renfilons nos vêtements, conscient que demain, à nouveau, les lecteurs reprendrons leurs droits sur cette salle de lecture.

Je te glisse à l'oreille qu'un jour, nous reviendrons, et qui sait, cette fois la, tu pourrais bien te retrouver attachée à cette même table qui t'as donné tant de plaisir. Après tout, le silence de la bibliothèque a été quelque peu troublé, et cela mérite une punition, mais ceci est une autre histoire

 

Par mr le mage - Publié dans : récits
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